La maladie ennemi du bien-être
Certains erreurs sont courantes, l'une d'elles est d'associer trop souvent la maladie à des causes isolées (microbres, état de stress, hérédité...) et de vouloir la traiter par des actions isolées en supprimant les symptômes.
Le vrai sens de la maladie
En naturopathie nous partons du principe qu'il n'y a qu'une seule et même maladie qui est générale : l'encrassement de notre organisme.
Mais elle se manifeste d'une manière locale, par des symptômes propres à chacun.
Notre organisme cherche en permanence à préserver un équilibre et à maintenir une stabilité des différents composants de son milieu interne et ceux malgré les changements constants du milieu externe.
Normalement le corps élimine rapidement les "résidus" ou "surplus" grâce à la fonction rénale, mais aussi les intestins, les poumons et la peau.
L'objectif du corps est d'éviter que trop de résidus ne circulent dans le sang et n'agressent les muqueuses, les tissus, les cellules. Il y parvient très bien, jusqu'à un certain point.
Notre vie moderne tend à encrasser davantage notre organisme, par notre alimentation industrialisée, nos modes de vie au rythme soutenu et stressant.
Le corps va donc devoir puiser au plus profond de ses ressources pour tenter d'éliminer les résidus pour toujours maintenir cet équilibre. Il va donc épuiser son énergie et ses réserves vitales pour fonctionner normalement.
C'est à ce moment là que vont apparaitre les premiers symptômes de la maladie, conséquence d'un déséquilibre que le corps n'a plus la force de réguler.
La naturopathie se donne pour rôle de restaurer l'énergie vitale en se débarrassant des résidus organiques ou toxiques du corps et lui permettre l'autoguérison.